Mon ami/Mon amie est un double mini-album de François David avec des illustrations de Manuela Ferry, publié en juillet 2015 aux éditions du Pourquoi Pas ? dans leur collection Faire Société.
Résumé :
Deux histoires d’amitié en vis à vis qui mettent en valeur le plaisir de lire.
Avis :
J’ai rencontré au SLPJ de Montreuil 2017 des bénévoles qui étaient là pour présenter les Editions du Pourquoi Pas ? Ils en parlaient d’ailleurs avec passion, et m’ont fait découvrir cette collection Faire Société, pour laquelle j’ai eu un vrai coup de ♥. Aussi bien pour la démarche éditoriale que pour les thèmes abordés.
Le principe de la plupart de ces albums pour les enfants à partir de 7-8 ans, est de présenter deux textes en recto-verso sur un thème commun. Le tout au prix de 6,50€ pour des albums d’une quarantaine de pages illustrées.
J’ai choisi d’en mettre un plus particulièrement en avant, celui sur le thème du Plaisir de lire. Donc, deux histoires. D’un côté Mon ami, cet indispensable qu’est le livre, et de l’autre côté, Mon amie, histoire d’un secret qui a changé la vie de cette amie.
A la fin de chaque histoire, on trouve quelques pistes de réflexions autour des textes et thèmes abordés. Les thèmes abordés dans la collection sont très variés, de Plaisir de lire à l’Amour, en passant par les Migrants, le Handicap ou encore le Développement Durable, pour ne citer que quelques exemples.
Je tiens vraiment à remercier les bénévoles présents sur le stand, qui ont pris le temps d’échanger avec moi, de me partager leur passion. Je suis heureuse d’avoir découvert par leur intermédiaire les Editions du Pourquoi Pas ?, qui est une structure associative. C’est pour ce type de belles rencontres et de beaux moments que j’aime aller sur les salons (en plus des échanges avec les auteurs bien sûr !). Ces rencontres avec des gens passionnés, qui sont dans le partage avant d’être dans la vente. Grâce à eux, le livre retrouve sa place de compagnon de rêve et de voyage, et pas juste d’objet commercial. Même si nous sommes tous conscients que l’argent reste le nerf de la guerre.
Les lectures de Sophie 